Là, l’abeille.
Aujourd’hui, chez Maya nous parlerons abeilles,
Car pour elle, ces insectes l’émerveillent.
Chaque jour dès son réveil,
Elle est là, elle les surveille.
Pour ça, elle en connaît un rayon, de miel.
Evidemment !
L’hiver passé, elle veille sur leur éveil,
Pour elles, jeunes, ces fleurs, même l’oseille,
Pour Philippa, qu’importe, c’est une reine,
Pour elle, pour les autres, elle se donne la peine.
Evidemment !
Cherchant l’ennemi, le frelon, d’Antonin, elle s’adresse aux saints,
Pour que vivent encore de grands et nombreux essaims,
Elle plante pour elles, pour de plus bons nectars,
Pour que s’agrandisse cette belle colonie de fêtards.
Evidemment !
Sans prince, sans roi, sans sire,
Les ouvrières fabriquent les gâteaux de cire,
Choyant le couvain d’une démarche loyale,
Travaillant pour la sublime gelée royale.
Evidemment !
Une journée sympa sans un vol de bourdon,
Le partage dans l’humour était là, pour de bon,
J’y ai appris tant de choses nouvelles,
D’un grand merci, ici, je renouvelle.
Evidemment !
Aujourd’hui, chez Maya nous parlerons abeilles,
Car pour elle, ces insectes l’émerveillent.
Chaque jour dès son réveil,
Elle est là, elle les surveille.
Pour ça, elle en connaît un rayon, de miel.
Evidemment !
L’hiver passé, elle veille sur leur éveil,
Pour elles, jeunes, ces fleurs, même l’oseille,
Pour Philippa, qu’importe, c’est une reine,
Pour elle, pour les autres, elle se donne la peine.
Evidemment !
Cherchant l’ennemi, le frelon, d’Antonin, elle s’adresse aux saints,
Pour que vivent encore de grands et nombreux essaims,
Elle plante pour elles, pour de plus bons nectars,
Pour que s’agrandisse cette belle colonie de fêtards.
Evidemment !
Sans prince, sans roi, sans sire,
Les ouvrières fabriquent les gâteaux de cire,
Choyant le couvain d’une démarche loyale,
Travaillant pour la sublime gelée royale.
Evidemment !
Une journée sympa sans un vol de bourdon,
Le partage dans l’humour était là, pour de bon,
J’y ai appris tant de choses nouvelles,
D’un grand merci, ici, je renouvelle.
Evidemment !